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Mettre en lumière les villes du pays

L’association Capitale culturelle suisse, qui réunit des personnalités du pays, questionne le concept d’exposition nationale: ne faudrait-il pas le remplacer par un programme à l’échelle de la cité? A sa tête, le syndic de Nyon et boss de Paléo, Daniel Rossellat.

18 janv. 2017, 12:14
/ Màj. le 19 janv. 2017 à 11:00
A l’heure actuelle, selon son syndic Daniel Rossellat, la ville de Nyon ne bénéficie pas d’infrastructures suffisantes pour accueillir le programme «Capitale culturelle suisse».

Mettre un coup de projecteur temporaire sur une ville ou une région du pays, pour donner à voir toute sa richesse culturelle. C’est le projet présenté ce jeudi matin à Berne, dans les locaux du Vatter Business Center, par l’association «Capitale culturelle suisse». Un collectif qui rassemble une quinzaine d’acteurs du milieu culturel helvétique dont Daniel Rossellat, syndic de Nyon et boss de Paléo, qui en assure la présidence.

L’association a présenté les grandes lignes de son projet. Une année durant, tous les quatre ou cinq ans, une ville ou une agglomération pourrait organiser des événements marquants. Expos, spectacles, concerts, tantôt pointus, tantôt grand public, dans des infrastructures existantes ou temporaires. Le tout dans l’idée de mettre en lumière les acteurs locaux et donc la multiplicité des sensibilités artistiques présentes en Suisse. De quoi booster par ailleurs le potentiel du territoire qui serait concerné.

A terme, le programme pourrait même remplacer le concept d’Exposition nationale, organisée tous les 25 ans. Du moins, c’est une question que pose l’association. Par ailleurs, Nyon pourrait-elle se porter candidate? “Possible, répond Daniel Rossellat, mais pour l’heure la ville n’aurait pas les infrastructures suffisantes pour accueillir un tel événement.”

Présentation complète et détaillée du projet dans nos éditions payantes de vendredi. 
 

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