En audience, elle témoignait avoir vécu dix ans d’enfer auprès de son ex-mari. Et pourtant, c’est lui qui l’accusait de lésions corporelles simples qualifiées et de séquestration. Le Tribunal de police de l’arrondissement de La Côte n’a pas retenu la version soutenue par l’ex-conjoint. Et a libéré la prévenue des accusations qui pesaient contre elle. Son ex-compagnon avait prétendu qu’elle l’avait violemment frappé, à deux reprises, avec son téléphone portable lors d’une dispute qui avait dégénéré.
En revanche, le Tribunal de police l’a condamnée à une amende de 800 francs pour n’avoir pas signalé un accident survenu sur un parking. La femme a occasionné deux rayures sur le pare-chocs arrière d’un véhicule lors d’une manœuvre.