Le sort de la Suettaz se jouera le dimanche 9 février. A cette date, les Nyonnais voteront pour ou contre le plan d’affectation dudit quartier. Ils mettront fin, par les urnes, à un référendum qui aura passablement agité la sphère politique de la ville.
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Dernier épisode, la collecte des signatures: malgré la validation du référendum, la Ville avait estimé que le comité référendaire avait récolté les paraphes nécessaires parfois de «manière douteuse». Ce que les référendaires avaient vivement contesté.
Appel à la sérénité
Dans un communiqué envoyé ce mercredi, les autorités nyonnaises indiquent que «le Service des communes et du logement du Canton a à la fois confirmé que le procédé utilisé ne respectait pas l’article 90 de la Loi sur l’exercice des droits politique, mais aussi que ce non-respect ne justifiait pas à ses yeux l’invalidation des signatures».
Si la Municipalité estime «avoir fait le bon choix en validant ce référendum tout en alertant le Canton sur la pratique constatée», elle signal sa volonté d’apaisement: elle aspire désormais à «un climat serein».