A l’origine, il souhaitait rendre service à la production qui avait mandaté son fils pour réaliser un film promotionnel à l’occasion de la sortie du disque d’une pianiste de renommée internationale à la tête d’une fondation caritative. Le peintre propose de mettre à disposition des tableaux créés pour l’occasion qui serviront de décor au court métrage.
Finalement, il s’est retrouvé sur le banc des accusés, prévenu de contrainte par la fondation commanditaire du film. L’artiste a empêché la diffusion du film prévu lors d’un concert en février 2016, en arguant que ses droits d’auteur avaient été bafoués.
Le 8 mai, le Tribunal de police semble lui avoir donné raison puisqu’il l’a libéré de l’infraction de contrainte. «La décision du tribunal ne contient pas encore de motivation, de sorte qu'il est impossible de se déterminer sur un éventuel appel. Cette décision pourra être prise à réception des motifs du jugement», a...