Eviter de laisser traîner dans la rue les enfants qui n’ont que la clé du domicile autour du cou en guise d’accompagnement après l’école. Tel était l’objectif des fondateurs de la Maison des enfants, fédérés par Marianne Jaques au début des années 1990 à Nyon. Il fallut à ces pionniers mobiliser passablement d’énergie pour collecter des fonds et des locaux auprès d’interlocuteurs communaux pas encore baignés dans les problématiques d’accueil de l’enfance.
Aujourd’hui, l’environnement politique a changé, les locaux également – les deux premières années de la Maison des enfants furent bricolées dans les locaux de la paroisse, au Prieuré –, mais l’énergie, il en faut encore pour faire vivre cette offre d’accueil grandement basée sur le bénévolat dans deux appartements loués par la commune au numéro 5 de l’avenue des Eules.
Pour connaître les raisons du sauvetage de cette institution nyonnaise, lisez l'article de Didier Sandoz dans les éditions du Quotidien de La Côte de ce mercredi.