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«Peu de nos boursiers communaux comprennent la péréquation»

Embourbée dans un casse-tête péréquatif, Mies attendait les mesures du Conseil d’Etat avec impatience. Entretien avec un syndic un peu rassuré.

10 oct. 2017, 23:47
/ Màj. le 11 oct. 2017 à 00:01
Lac Léman, mercredi 4 octobre 2017
Croisière du 125e anniversaire du Quotidien de La Côte sur le bateau Le Rhône de la Compagnie Générale de Navigation sur le lac Léman (CGN) au Lac Léman. Gérard Produit (Syndic de Coppet) et Pierre-Alain Schmidt (syndic de Mies)

© Sigfredo Haro Croisière 125e, Lac Léman

Il est le syndic d’une des communes touchées par les «effets de bord» de la nouvelle péréquation intercommunale introduite à fin 2016. Pierre-Alain Schmidt se prononce sur la récente réponse du Conseil d’Etat à cette problématique des plus complexes. Pour rappel, le gouvernement prévoit de rabaisser, jusqu’à fin 2019, le plafond de la participation maximale des communes à l’effort péréquatif. Objectif de la manœuvre: éviter que des communes aient des revenus fiscaux inférieurs au montant de la facture péréquative.

Pierre-Alain Schmidt, est-ce que le syndic de Mies est satisfait de la mesure proposée par le Conseil d’Etat?

Je prends note avec soulagement que notre gouvernement a compris que certaines communes faisaient face à des cas de rigueur. Et qu’il était urgent d’y apporter une solution au risque de péjorer grandement l’attractivité du canton pour les grands contribuables. Une conséquence qui aurait des effets fâcheux non seulement pour les communes, mais...

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