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Pour l’amour de Nyon

Venue de Pologne pour apprendre le français, Renata Sukiennik a trouvé sa voie grâce à l’Usine à gaz.

12 oct. 2016, 23:04
/ Màj. le 13 oct. 2016 à 00:01
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MARION POLICE

info@lacote.ch

La première fois que Renata Sukiennik a posé les pieds en Suisse, c’était en 1995. Originaire de Limanowa, petite ville du sud de la Pologne, elle était alors étudiante en philologie romane. A l’aise à l’écrit, la jeune femme rencontrait toutefois quelques problèmes pour s’exprimer en français.

Alors, un été, elle suit une amie et atterrit sur les bords du Léman afin d’être jeune fille au pair et prendre des cours de langue. «C’était peu après la chute du mur, les relations entre la Pologne et l’Europe débutaient… L’agence de placement ne devait pas être très légale. En plus, comme c’était l’été, on m’a annoncé qu’il n’y aurait pas de cours». Première venue peu concluante. Renata retourne en Pologne et ne passe pas ses examens de fin d’année.

Déterminée, elle décide de tenter à nouveau sa chance en terre helvétique avec un vrai travail. Elle est engagée...

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