Depuis 2016, la police de proximité a été largement renforcée pour tenter de faire de Nyon une ville plus sûre. Loin d’être considérées comme des quartiers “chauds”, certaines zones continuent pourtant d’être la cible d’incivilités.
Quatre caméras de vidéosurveillance autour de la place de la gare et une caméra mobile au parking de Perdtemps font aujourd’hui office de surveillance dite “passive”. C’est-à-dire que les images sont stockées sur un serveur et que les caméras n’enregistrent que des tronçons filmés de manière séquentielle.
Or, pour faire face aux incivilités, la Ville de Nyon assure que seule une surveillance active permettrai d’être réellement efficace, grâce à l’immédiateté de la réaction policière. Cela demanderait une couverture assurée 24h sur 24 par un collaborateur qui consulterait en direct les images et qui serait à même de réagir en cas de problème.
Un engagement de ressources supplémentaire qui s’ajouterait ainsi aux coûts matériels. Au total,...