L'ambiances est délétère au sein de l'entreprise britannique GSK, ex Novartis. Des employés ont été incités à postuler à l'interne, d'autres pas, alors qu'aucune annonce de licenciement n'a été annoncée. Certains employés, inquiets, se sont adressés à Unia pour les défendre. Ce qui met le président de la commission du personnel hors de lui. "Nos négociations doivent rester secrètes. Les employés seront informés avant que nous ne signiions quoi que ce soit. Unia n'a pas à intervenir". Quant à la direction, elle admet que de profonds changements sont en cours. "Mais le nombre de postes sur le site devrait rester équivalent à ce qu’il est aujourd’hui. Néanmoins, certains seront modifiés ou éliminés, raison pour laquelle nous sommes en train de négocier un plan social avec les représentants des employés sous contrat individuel, afin de garantir l'égalité de traitement pour tous les employés concernés durant les prochains 18 mois. Le personnel de l’usine n’est pas concerné par cette réorganisation".
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