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Quadragénaire prévenu de contrainte et de stalking après une rupture qui l’a anéanti

Quitté par sa compagne, un homme est accusé d’avoir harcelé cette dernière, de quinze ans sa cadette, par sa surveillance et des messages anonymes adressés à son entourage l’été dernier. Malgré le retrait des plaintes, la contrainte dont il s’est rendu coupable – qualifiée de «stalking» (la traque en anglais) –, est poursuivie d’office.

12 juin 2019, 20:00
Après la convention signée par la victime et le prévenu qui a conduit au retrait des plaintes, l'avocat de la défense a tout de même plaidé pour dénier la culpabilité de contrainte de son client.

La disposition de la salle d’audience était inédite ce mercredi matin au Tribunal de police de La Côte. Un paravent coupait la salle en deux, empêchant les regards de la plaignante et du prévenu de se croiser. C’est que ce dernier n’a pas mené la vie facile à son ex-compagne l’été dernier. Celle-ci l’ayant quitté, le quadragénaire a littéralement été anéanti, de l’avis d’un de ses amis appelé à la barre.

Il s’est alors rendu coupable de faits méritant l’ouverture d’une enquête, diligentée par le Ministère public de La Côte qui le renvoyait mercredi devant la Cour pour lésions corporelles simples, dommages à la propriété, menaces et contrainte.

Lettres anonymes et carrosserie rayée

Des lettres anonymes déposées chez son ex-amie puis chez deux autres hommes qu’il soupçonnait d’entretenir une relation avec elle, des SMS et des messages WhatsApp à son amour parti ainsi qu’à son entourage ont amené la jeune...

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