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Eau potable: comment les communes s'organisent pour ne pas finir à sec

Face aux épisodes répétés de canicule, les communes prennent des mesures pour s’assurer un approvisionnement durable en eau potable. Exemples à Burtigny, Duillier ou Marchissy.

19 août 2019, 05:00
L'eau de la source En Lottafon est captée sur le territoire de Marchissy. A gauche, Guy Fritsché, du bureau d'ingénieurs Bovard§Nickl en charge du projet de recaptage et le municipal des eaux de Burtigny  Sébastien Cottier.

Malgré des épisodes caniculaires ponctuels cet été, les précipitations ont permis de ne pas se trouver dans une situation aussi critique que l’an dernier, où certaines communes de la région s’étaient retrouvées presque à sec. Marchissy, Arzier-Le Muids et Genolier avaient en effet dû mettre en place des mesures d’urgence pour s’approvisionner en eau. Les Martiolans ont néanmoins connu une brève période de restriction d’eau cet été, tout comme les Saint-Cerguois par exemple.

Malgré cette accalmie – l’automne peut se révéler aussi très sec – les communes ne baissent pas la garde et anticipent la problématique de l’approvisionnement en eau dans le futur.

Interconnexions et recaptages: l’avenir

Ainsi, à Marchissy, après l’épisode de 2018, les autorités prévoient de déposer cet automne un préavis devant le Conseil général afin d’envisager un bouclage en cascade avec Longirod. Cette dernière, tout comme Saint-George, est raccordée au réseau de Gimel. Le plan directeur de...

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