Aux dernières nouvelles, rien n’allait plus. Le 20 décembre, une septantaine d’employés de Generali avaient décidé, sous l’égide d’Unia, de débrayer pour un après-midi. Ces derniers estimant que les conditions n’étaient pas réunies par leur employeur pour mener à bien le processus de consultation.
Depuis, la situation semble s’être apaisée: par le biais d’un très bref communiqué, le Département de l’économie du canton (DECS) a indiqué jeudi en fin d’après-midi qu’une rencontre avait eu lieu entre la direction de l’assurance et Unia. Ceci en présence de Philippe Leuba, chef dudit département.
«Cette réunion intermédiaire a permis de clarifier la situation et de lever les quelques divergences existant entre les parties prenantes. Les conditions permettant d’assurer la poursuite de la discussion dans un climat serein ont fait l’objet d’un accord», indique le DECS dans son document.
Generali ne souhaite pas faire de commentaires aux médias. Quant aux responsables d’Unia,...