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Jeunesses: ils seront mille à taper du tambour dès mercredi

Le Concours des tambours 2018 attire 56 sociétés de jeunesse. Comment les jeunes se préparent-ils? Et d’où vient cet engouement de taper du tambour à Nouvel An?

09 janv. 2018, 07:00
Préparatifs du Concours des tambours. Quelques-uns des membres organisateurs avec de g. à d.: Cedric Racheter, Fabien Fiechter, Vincent Fiechter, Henri Kern, Colin Jacqumettaz, Florence Fiechter, Loic Cretegny, Naïs Jalliker, Yves Schopfer et Charlene Luna.

Le concours des tambours, dont la première édition remonte à 1980, est comme un point d’orgue des festivités marquant la nouvelle année, pour nombre de sociétés de Jeunesse. Depuis fin décembre jusqu’aux premiers jours de l’an, les jeunes de la région tapent du tambour dans les villages pour souhaiter la bonne année aux habitants.

Une coutume héritée des anciens, à l’origine floue, mais que personne ne remet en question. «Taper du tambour à Nouvel an est une tradition, on souhaite la perpétuer, explique Lauranne Desarzens, présidente de la Jeunesse de Saint-Oyens. A l’origine, c’était pour chasser les mauvais esprits. Aujourd’hui, c’est simplement pour souhaiter la bonne année aux villageois.»

Taper du tambour par tradition

Le poids de la tradition est tel que, même si les sociétés de Jeunesse se défont puis renaissent de leurs cendres, elles s’y réfèrent à nouveau. C’est le cas de la Jeunesse de Reverolle-Chaniaz, organisatrice cette...

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