En dehors de ses aspects folkloriques et récréatifs, le concours visait surtout à attirer l’attention du public sur la forêt et ses métiers, alors que la filière de production du bois est en souffrance. Malgré tout, les jeunes continuent de s'engager dans l'activité de bûcheron-forestier, à l'instar de Sylvain Rohrbach. Après avoir découvert le métier à la suite d'un stage, il n'hésite pas à réaliser un apprentissage. «J’apprécie de pouvoir travailler à l’extérieur, en pleine nature, d’entretenir la forêt et de participer à sa régénération. Pour moi, c’est plus une passion qu’une profession», raconte le Saint-Georgeais, qui brise volontiers tous les clichés habituellement associés au métier.
Portrait de Sylvain Rohrbach dans notre édition papier de lundi.