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«On n’est pas là juste pour poser des sparadraps et sprayer du Merfen»

Vêtus de leur combinaison bleue, ils sont reconnaissables lors de toute manifestation sportive ou festive. Saignement de nez, malaise, coupure: ces bénévoles connaissent les gestes à faire. Une journée de démonstration est organisée le 7 septembre à Chavannes-de-Bogis.

02 sept. 2019, 18:30
Les samaritains du Cœur de La Côte se considère comme "une grande famille". Jacqueline Labhard, entourée de Raphaël Fontaine, Loris Bonin-Duc, Mathis Métral et Caroline Chablais lors d'une démonstration de soins.

Giron de Jeunesse, fête d’entreprise, compétition de judo, collecte de don du sang, tournoi de foot,… Les samaritains sont partout! Bénévoles, ils passent de nombreuses heures chaque mois à se former et à tenir des postes sanitaires pour soigner toutes sortes de blessures et de mal-être. A l’écoute de la population et en première ligne sur le terrain, les samaritains donnent les premiers soins.

Du bobo à l’arrêt cardiaque

A chaque manifestation, son lot de particularités. «Pour les matches de judo on prépare des tampons hémostatiques, pour les compétitions de volley des attelles pour les doigts, et pour certaines fêtes, des petites cellules de dégrisement. Mais nous sommes préparés à tout en permanence», explique Jacqueline Labhard, présidente du Cœur de La Côte, groupe samaritain de Gimel, Aubonne et Rolle.

Coupure, brûlure, malaise, crise d’angoisse, soutien psychologique: en première ligne, les samaritains font face à de nombreuses situations. Parfois des événements...

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