La situation devient vraiment préoccupante pour la Compagnie du Nyon-Saint-Cergue-Morez (NStCM). Encore et toujours à l’étroit dans son hangar des Plantaz, elle attend sempiternellement les autorisations de l’Office fédéral du développement territorial et de l’Office fédéral de l’environnement. Une fois ces permissions acquises, ne resteront "plus que" les oppositions privées à lever. Autant d’obstacles qui privent le petit train rouge d’un nouveau toit.
Ce mercredi, lors de l’assemblée générale ordinaire, le directeur Richard Zaugg prévenait: "la construction doit démarrer dans trois ans pour garder la cadence au quart d’heure." Sous peine de ne plus pouvoir assurer l’entretien des rames, qui doit débuter dans quatre ans. Alors même que cette fréquence n’est pas acquise que sur le trajet entre Nyon et Genolier. Devoir y renoncer serait un énorme camouflet, ce d’autant plus que la compagnie avait dépensé une somme importante dans la rénovation du toit du hangar des Plantaz.
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