Un mari reconnu coupable, en novembre 2015, de violences domestiques et, en plus, de contrainte sexuelle et de viol qui envoie sa victime sur le banc des accusés. C’est ce qu’a dû subir ce matin la chanteuse Sonia Grimm. Un plaignant qui a par ailleurs brillé par son absence, un fait relevé par la présidente du Tribunal de police de l’arrondissement de La Côte.
Le futur ex-mari de la chanteuse de Saint-Cergue l’accusait d’escroquerie et de faux dans les titres dans le cadre de la société de production que le couple avait créée. Le Tribunal a blanchi l’artiste des deux chefs de prévention et lui a même accordé une indemnité pour l’exercice de ses droits de procédure à hauteur de 9720 francs.
Société de production liquidée
L’affaire remonte à l’époque de leur séparation en été 2014. Face aux violences subies, la chanteuse entreprend des démarches pour dissoudre et liquider la...