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Sous-location: les pièges à éviter

Sous-louer son appartement, la pratique est courante mais pas sans risques. Nos conseils pour éviter de se retrouver dans l’embarras.

18 févr. 2019, 05:00
Les clauses du contrat doivent être très claires, dès le départ, tant pour le locataire que pour le sous-locataire.

Sous-louer son appartement pour partir étudier, travailler ou voyager à l’étranger. La pratique est fréquente mais elle est loin d’être sans risques. Tant pour le locataire que pour son remplaçant temporaire. «Il faut comprendre que le premier devient alors le bailleur du second, et qu’il a envers lui les mêmes obligations qu’un bailleur classique», explique le directeur de l’Asloca Intersections, Renaud Jaccard.

Inversement, face au locataire-bailleur, le sous-locataire dispose des mêmes droits qu’un locataire lambda. Avant de faire ses cartons, donc, mieux vaut s’assurer que tout a été fait dans les règles de l’art.

Obtenir l’accord de la régie

Première étape, qui incombe au locataire qui souhaite sous-louer: obtenir l’accord écrit de la régie. Pour ce faire, les conditions du contrat doivent être clairement établies. A commencer par la durée de l’absence prévue. «Dans le canton de Vaud, il est interdit de sous-louer l’entier de son logement pour une durée...

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