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Transport scolaire: quand les «parents taxi» sèment la zizanie

Conduire son enfant à l’école présente des avantages, mais constitue surtout une source de danger pour les autres enfants. Problème, les «parents taxi» sont de plus en plus nombreux.

13 sept. 2019, 05:00
Voitures, bus scolaires et piétons doivent cohabiter devant les écoles, comme ici à Mies.

La rentrée, c’était il y a déjà trois petites semaines. Depuis, routes, rues et chemins sont à nouveau arpentés par des enfants à pied, à vélo ou en trottinette, par des bus scolaires, des pédibus mais aussi des parents au volant de leur véhicule. Et ces fameux «parents taxi» s’imposent chaque année un peu plus sur le chemin des écoles.

TCS, Bureau de prévention des accidents (BPA), police cantonale, école ou encore associations de parents d’élèves, tous font le même constat: trop de parents amènent leur progéniture en voiture à l’école. Cette rentrée, les campagnes de sensibilisation se sont multipliées pour tenter d’endiguer le phénomène. Car selon ces différentes entités, la prolifération des «parents taxi» pose des problèmes de sécurité et prive les enfants des bienfaits d’un trajet à pied ou à vélo.

Romands mauvais élèves

La Suisse romande semble particulièrement concernée par ce phénomène. Selon une étude portant sur...

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