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" Combien pour la tête de tigre empaillée? " Samedi, entre 9h et 16h, la Maison forte de Bursins a fait le plein de chineurs et de brocanteurs. Meubles, vaisselle, bibelots, tableaux, tout le contenu de cette bâtisse du XIII e siècle devait disparaître suite à son rachat par la commune (voir "La Côte" du 19 juin). Un véritable paradis pour les férus de vieux objets, qui s'étendait du rez-de-chaussée à la grande salle du Prieur, située au deuxième étage.
Le bâtiment recelait une quantité impressionnante de trésors, comme l'explique Jean-Marc Roland, brocanteur-bouquiniste du village, chargé d'organiser la vente. " Les anciens propriétaires du bâtiment étaient de véritables collectionneurs. Ils ne jetaient rien. Nous avons mis plus de 200 heures pour tout trier! "
En fouillant la maison, Jean-Marc Roland a fait des découvertes étonnantes malgré sa longue expérience de la brocante. Un violon muni d'un phonographe, notamment, qui...