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Une fin de vie lumineuse

Vendredi soir, "Au crépuscule d'une vie" inaugurera la 46

17 avr. 2015, 00:01
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aguenot@lacote.ch

Eté 2011. Diane, 94 ans, apprend qu'elle est atteinte d'une maladie incurable. Les médecins sont formels: ses jours sont comptés. Mais elle, elle ne l'entend pas de cette oreille: " J'ai connu des choses horribles. Et pour des bêtises, des futilités, je vais crever. Ce n'est pas possible! " Elle s'accrochera donc à la vie durant deux ans. Un combat fait de hauts et de bas, de rires et de larmes, que son fils, le réalisateur belge Sylvain Biegeleisen, retrace dans "Au Crépuscule d'une vie". Un portrait touchant et sensible d'une nonagénaire qui n'est pas décidée à dire son dernier mot, doublé d'un témoignage poignant sur l'amour filial.

Sylvain Biegeleisen, lorsque les médecins vous ont annoncé que votre mère était condamnée, l'idée de capter ses derniers moments de vie s'est d'emblée imposée?

Non. Car à ce moment-là, ma mère était plongée dans une sorte de coma. Il n'était donc...

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