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Une société de surveillance perd un gros mandat et doit licencier

Un formulaire d'adjudication incorrectement formulé, et la Société de surveillance SDS, à Mies, perd un gros mandat. Elle licencie.

30 janv. 2013, 13:51
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Le journal 24 Heures le révélait dans son édition de samedi: 63 trois personnes, soit 38 postes, sont supprimés depuis ce jeudi 31 janvier, au sein de la Société de surveillance SDS, basée à Mies. En cause: le non renouvellement du mandat  de l'Etablissement vaudois d’accueil des migrants (EVAM) pour la surveillance de ses différents centres d'accueils. C'est une erreur dans la procédure de comptage des points en vue de l'adjudication du mandat qui est à l'origine de ce revirement de situation. L'EVAM, dans ses petits souliers, a reconnu son erreur. Mais un recours de Protect' Service auprès du Tribunal administatrif a donné raison à cette dernière société.

Sécuritas et Protect' Service, désormais en charge du mandat jusqu'en 2016, ont l'autorisation de sous-traiter le travail auprès de SDS jusqu'à fin mars. Elles sont prêtes à engager une partie des employés licenciés. Une partie d'entre eux a du reste déjà reçu des réponses positives. Tant au niveau de la direction que des employés, c'est un mélange de déception et d'incompréhension qui domine. L'avenir de la société SDS n'est cependant pas remis en question, l'entreprise plus que trentenaire ayant plusieurs cordes à son arc.

Détails et explications dans notre édition papier de jeudi.

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