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Une vingtaine de lecteurs ont discuté en tête-à-tête avec Joël Dicker

A Chavannes-de-Bogis, autour d'un repas, une vingtaine de lecteurs et abonnés à notre journal ont eu le privilège de discuter avec l'écrivain genevois qui s'est montré très disponible. Il a joué le jeu des photos, selfies, dédicaces et des bises. Les invités étaient ravis.

13 avr. 2016, 18:12
Joël Dicker s'est montré généreux et à l'écoute des lecteurs.

En partenariat avec «Le Quotidien de La Côte», le Centre Manor Chavannes organisait hier une rencontre autour d’un repas avec l’écrivain Joël Dicker. Pour la vingtaine de privilégiés - composés de nos lecteurs et de lauréats d’un concours - ceux heures de tête-à-tête avec le romancier genevois ont été un privilège.
L’auteur à succès - qui a vendu trois millions d’exemplaires de «La Vérité sur l’Affaire Harry Québert» - n’a pas déçu: il s’est montré généreux disponible, à l’écoute, répondant à toutes les questions, acceptant photos, selfies, dédicaces et bises sur la joue. Ecrit-il plusieurs livres à la fois? Quand il commence un roman sait-il déjà comment il le terminera?

D’abord le récit, les personnages naissent dans son imagination, il les nourrit, leur donne chair. Puis vient le moment de se mettre à table. «Quand vous sortez de chez vous, vous ne savez pas forcément quels chemins vous aller emprunter, j’écris comme ça, je commence, je construis, parfois je dois faire demi-tour, car je suis dans une impasse. Vous aussi, il vous arrive de devoir remonter chez vous, car vous avez oublié votre portable.» Ainsi les familles Goldmann de Baltimore et de Montclair, héros de son dernier roman «Le Livre des Baltimore» l’ont accompagné durant trois ans. «Oui c’est long d’écrire un livre». Avec le point final, «vous devez faire le deuil avec vos personnages?» lui demande une lectrice. «Non pas forcément un deuil, mais ce sont des amis qui nous ont accompagnés durant un temps, et la plupart du temps il faut leur dire adieu», répond Joël Dicker.

A l’issue de la rencontre, suivie d’une dédicace publique dans le centre commercial, les lecteurs sont repartis avec leurs livres dédicacés, un sourire accroché à leurs lèvres et des petites étoiles dans les yeux. «Il est beau, confie une abonnée de notre quotidien. En plus il sait se tenir, il est élégant, bien éduqué. Je l’ai complimenté»

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