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Unia n’a pas encore la voie libre

Jeudi, le syndicat a rencontré une nouvelle fois les employés de Generali. Son action n’a pas encore été reconnue par l’assureur.

01 déc. 2016, 23:16 / Màj. le 02 déc. 2016 à 00:01
Bâtiments du siège de l'assurance Generali à Nyon.
Samedi 27 août 2016. Siège Assurance Generali à Nyon

antoine guenot

antoine.guenot@lacote.ch

Ils avaient été près de 180 à se déplacer à la Ferme du Manoir vendredi dernier. Ils étaient tout autant voire davantage jeudi à la salle communale. Peu avant midi, c’est là que s’est tenue la seconde rencontre entre les employés de Generali et les représentants d’Unia. L’objectif de la réunion: faire un point de situation et mettre sur pied une stratégie qui vise, rappelons-le, à sauver la centaine de postes de travail que l’assureur veut délocaliser de Nyon à Adliswil, dans le canton de Zurich.

«Il est désormais admis que nous sommes dans un véritable processus de consultation», a annoncé Yves Defferrard, secrétaire régional du syndicat. Ce qui signifie, comme le prévoit la loi pour ce type de situation, que les salariés disposent d’un minimum de dix-huit jours ouvrables pour proposer des alternatives à leur employeur. «Pour l’heure, le terme de cette période...

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