Avec l’entrée en vigueur des nouvelles dispositions de la Loi sur l’accueil de jour des enfants, c’est aux communes de fixer les conditions de l’accueil parascolaire primaire des enfants. L’Etat continuera toutefois d’autoriser et de surveiller les structures proposant ce type d’accueil. Un accord a en effet été signé mercredi entre l’Etablissement intercommunal pour l’accueil parascolaire primaire (EIAP) et le Département des infrastructures et des ressources humaines (DIRH), dont dépend l’Office de l’accueil de jour des enfants (OAJE). Un accord par lequel l’EIAP délègue, dans un mandat de prestations à l’Etat, ses compétences dans ce domaine.
Cohérence assurée
Totalement inédit, ce type de partenariat, où ce sont les communes qui mandatent l’Etat et non l’inverse, contribuera à assurer la cohérence de l’accueil de jour des enfants. Cet élément du dispositif entré en vigueur vise à mieux répondre aux besoins des familles.
«La solution que nous avons trouvée par laquelle l’EIAP...