La thèse de l'accident reste privilégiée dans le décès d'un adolescent fribourgeois de seize ans samedi soir à la gare de Renens (VD). L'Institut de médecine légale de Lausanne n'a pas trouvé d'éléments autres que le choc du train pour expliquer sa mort, a indiqué le procureur.
Le jeune a traversé les rails sur un passage de service interdit au public. Il n'a visiblement pas entendu le train arriver, a déclaré le procureur Anton Rüsch mardi à l'ats. L'enquête n'a pas encore permis de déterminer la raison de sa présence à la gare de Renens.
Selon la procédure, le magistrat a demandé un contrôle complet de l'état physique du mécanicien. Les analyses se sont révélées négatives tant sur le plan de la drogue que de l'alcool.
Le disque tachygraphique du train a également été prélevé pour voir si la procédure a été respectée. Les résultats ne seront pas connus avant plusieurs semaines. "C'était un train direct qui ne devait pas s'arrêter à Renens. Il était donc normal qu'il roule à une certaine vitesse", a noté le procureur.
Le drame s'est produit peu avant 23h00. Le jeune homme a été secouru par des témoins, puis par un médecin et les ambulanciers, qui ont constaté son décès.
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Renens: la thèse de l'accident reste privilégiée dans la mort de l'adolescent à la gare
L'adolescent décédé samedi en gare de Renens serait mort après avoir été happé par le train, conclut l'institut de médecine légale de Lausanne.
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