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Tant les expatriés que les exilés français, ils sont tous locataires en Suisse

La vente des biens de luxe est en berne dans les cantons de Vaud et Genève. Même les grosses fortunes françaises préfèrent patienter avant d'acquérir un logement.

31 oct. 2012, 14:51
En dépit de l'arrivée massive de riches exilés français, le marché de l'immobilier de luxe ne décolle pas.

Entre Genève et Vaud, l’arrivée de grosses fortunes françaises est perceptible mais tous les professionnels de l’immobilier n’en tirent pas le même profit.

Globalement, la vente des biens de luxe est en berne: les prix amorcent une baisse et même des exilés fiscaux préfèrent patienter attendant ainsi le meilleur moment pour acquérir en Suisse.

Parmi les personnes qui étudient aujourd’hui la possibilité de s’exiler de France, il n’y a pas seulement des rentiers âgés, mais aussi – et il s’agirait de 60% des cas – des actifs, soit des cadres supérieurs ou dirigeants d’entreprises multinationales et même les jeunes dirigeants de start-up et des patrons de PME sont tentés de déménager leur siège social sur l’arc lémanique.

Mais ils sont plutôt locataires.

A lire jeudi dans notre édition papier.

 

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