«Les projets doivent se démarquer par leur originalité et leur innovation technique, leur créativité artistique, leur architecture technique, leur stratégie de mise en marché ainsi que leur potentiel de développement économique», indique vendredi le Service des affaires culturelles dans un communiqué.
Il souligne que le jeu vidéo vaudois se trouve «dans un écosystème en pleine expansion», citant les exemples des Numerik Games à Yverdon et du GameLab de l’UNIL et de l’EPFL, un groupe d’étude interdisciplinaire dédié au jeu.