«C’était un peu plus facile que je pensais. J’avais de la marge, j’aurais pu faire encore 20 ou 30 kilomètres.» A sa grande surprise, c’est «presque» frais comme un gardon qu’Adrian Deubelbeiss a franchi en 278e position (sur 350 participants) la ligne d’arrivée de la Nordenskiold’s Loppet le 10 avril dernier. Et s’il termine à près de 7h30 du vainqueur, le Norvégien John Kristian Dahl, il est reparti avec ce qu’il était venu chercher: des souvenirs inoubliables.
Présentée comme la course la plus longue du monde (lire notre édition du 30 mars), l’épreuve de 220 km disputée en Laponie suédoise s’est vue raccourcie de 20 bornes quelques jours avant le départ de la course en raison des conditions climatiques. «Ça reste tout de même la plus longue... en style classique, précise le Nyonnais, qui avoue une préférence pour le parcours modifié. Il était plus court, mais...