La thèse officielle du décès de Marco Pantani dû à une surdose de cocaïne et non à un meurtre est confortée par les conclusions du médecin légiste. L'ancien cycliste italien " n'a pas été agressé ni frappé avant de mourir ", affirme le médecin. Il contredit ainsi l'hypothèse de " l'homicide volontaire " défendue par l'avocat de la famille Pantani. Les lésions superficielles que présentait l'ex-cycliste sur le visage et le corps n'ont pas été produites par un tiers, selon le légiste mandaté par le parquet de Rimini.
L'enquête a été rouverte fin juillet après que l'avocat a déposé un dossier fournissant de nouveaux indices sur le décès tragique du vainqueur du Tour de France 1998. La justice avait conclu à une mort par surdose de cocaïne, le 14 février 2004, dans un hôtel de Rimini sur la côte adriatique de l'Italie.
Emballement médiatique
Dans son dossier, l'avocat de la...