Il est arrivé en Suisse à l’aube de l’été 2017 avec, sur ses épaules, un riche palmarès décroché en France et plus de 1,3 million d’euros de gains. Atteint par la limite d’âge de 10 ans, «Swedishman» ne pouvait plus courir dans son pays après avoir connu une carrière hors norme au plus haut niveau de compétition. La suite, c’est une succession de transactions heureuses précédant son arrivée à Apples.
Patricia Felber s’en souvient parfaitement: «Sachant qu’il devait quitter l’Hexagone, je l’ai suivi avec attention sur les médias spécialisés. En Suisse et en Europe, il était déjà courtisé par de très nombreux propriétaires.» Grâce à Carlo Pavone qui l’a loué à un propriétaire d’Outre-Jura, l’accord a été conclu avec la driver d’Apples. «La personnalité de «Swedishman» m’a séduite dès que je me suis retrouvée sur le sulky pour le piloter», relève-t-elle.
Cinq puis dix victoires
Le festival de «Swedishman» a...