Trois coéquipiers, mais surtout trois (très) bons potes. Et une complicité qui s’étend bien au-delà des lignes du terrain. «Notre force cette année, c’était clairement le groupe. On s’entend bien, on se compense malgré les hauts et les bas», détaille Quentin Zeller, topscorer et capitaine du club de Chênois (LNA). «Ceux qui ont plus d’expérience apportent à ceux qui en ont moins, seule l’unité peut amener ça. Dans les moments difficiles, on fait corps plutôt que de s’éparpiller», ajoute le libéro Yann Prönnecke, originaire de Bassins.
Les trois compères baignent dans le volley depuis leur enfance, puisqu’au moins un de leurs parents a pratiqué ce sport à haut niveau en Suisse. Depuis toujours dans les salles pour assister aux matches, c’est tout naturellement qu’ils ont emprunté la même voie. Mais s’ils ont joué le rôle de modèle, aucun n’a poussé son fils à atteindre les sommets. «J’ai choisi le volley,...