Sur Facebook, le post ressemble, à s’y méprendre, à une bouteille jetée à la mer: «Chers parents, ce courriel est un SOS afin que la FSG Crassier puisse continuer à exister.» Il est donc question de vie ou de mort. Ni plus ni moins.
«Vous le savez peut-être déjà mais il manque du monde au sein du comité, en priorité pour le poste de caissière mais également pour d’autres. Notre but est le même que le vôtre: offrir aux enfants la possibilité de suivre des cours de gym au sein de leur village ou du village avoisinant.»
Pour commenter ce rappel des troupes et cette invitation à s’investir, nous avons tenté de joindre Véronique Carnal, la présidente de la FSG Crassier. En vain. Le constat corrobore l’enquête menée par l’Association cantonale vaudoise de gymnastique (ACVG). Publié en mars, le rapport soulignait des pertes en argent et en membres. Les résultats...