Nicolas Zoulalian est rentré des Universiades des souvenirs plein la tête. «Autant sur l’aspect humain qu’au niveau sportif, c’était incroyable», lâche-t-il avant de se remémorer cette folle aventure, lui qui participait, à Naples, à sa première grande compétition internationale.
«Rien que la cérémonie d’ouverture et de clôture, ce sont des trucs qu’on n’a pas l’habitude de vivre. Quand tu as tout le stade San Paolo qui commence à crier, c’est fou, lâche-t-il, des trémolos dans la voix. C’était vachement impressionnant, surtout quand l’Italie est rentrée dans le stade. À ce moment-là, tu te sens vraiment tout petit.»
Mais ces festivités n’ont été qu’une infime partie de l’aventure du nageur glandois. «J’ai fait de belles rencontres. Comme tout le monde a quasiment le même âge, le contact se fait assez facilement, relève celui qui s’est qualifié en claquant sa meilleure perf’ en carrière au 50 m crawl (22’’60), lors des Championnats...