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Le kin-ball, un sport qui peine à prendre son envol dans la région

Très médiatisé au Québec, le kin-ball commence à se faire connaître en Suisse, notamment dans le Nord vaudois. Malgré une envie évidente de démocratiser ce sport chez les plus jeunes, la sauce n’a jamais pris à plus large échelle sur La Côte.

26 sept. 2018, 17:01
En 2017, lors des CrazyGames, les jeunes ont pu s'essayer au kin-ball. Les "orange" sont à l'engagement.

Voilà déjà 30 ans que le kin-ball a fait son entrée dans les salles de sport. D’abord réservé aux Québécois, le ballon XXL a fini par débouler sur la pointe des pieds en Suisse, il y a une dizaine d’années. S’il fait des émules dans la province du Canada, ce sport relativement simple à pratiquer tente de se faire un nom dans nos contrées. «Yverdon est le plus grand club du pays avec quatre équipes de juniors et trois adultes», explique Johan Goeri, membre du comité de Swiss Kin-Ball.

Si la fédération tente de tout mettre en œuvre pour que ce sport gagne en visibilité, la tâche n’est pas aisée. «On essaie de grandir vite mais il faut que ça suive derrière aussi, que les cantons adhérent au projet», lâche Johan Goeri. Ainsi, la discipline se répand gentiment dans le sillage du «bon élève» yverdonnois. «Toutes les écoles à Neuchâtel...

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