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«Quand on voit les gens lancer des figures, on se dit qu’on doit en être capables aussi»

À Etoy, le parc réservé au street workout fêtait sa première compétition dimanche. Rencontre avec les membres de «Blunit», qui rêvent d’accueillir les Championnats suisses au même endroit l’an prochain.

03 sept. 2018, 17:25
Jean-Paul Mercier fait partie des meilleurs street workers du pays. Pour l'an prochain, il rêve de prendre part aux Championnats du Monde.

Casquette vissée sur le crâne et gros pull remonté sur la tête. Jean-Paul Mercier est longtemps resté dans sa bulle, dimanche après-midi à Etoy, lors de la première compétition de street workout – discipline sportive de rue, mêlant gymnastique et musculation. L’habitant de Buchillon s’est finalement classé quatrième dans «son jardin».

Une performance remarquable quand on sait qu’il a découvert ce sport il y a un peu plus d’un an. «La première fois que je suis venu dans ce parc, c’était le 7 du 7 2017, relève l’athlète de 18 ans, sourire en coin. Et le soir quand je suis rentré chez moi, je me souviens que je me suis dit vivement le lendemain pour que je puisse y retourner.»

Ce parc, la commune d’Etoy le doit principalement à Ugo Rattenni. «Il y avait des vidéos qui tournaient sur internet. C’était déjà assez connu dans les pays de l’est et...

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