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Mieux vaut ne pas faire faux bond!

A la découverte de cette discipline olympique sous l’encadrement du «Pesant» Simon Progin, membre de l’équipe helvétique.

12 juil. 2016, 23:46
/ Màj. le 13 juil. 2016 à 00:01
Trampoline avec Simon Progin membre de l'équipe suisse Trampoline

yann suter

sports@lacote.ch

Depuis plusieurs années, les trampolines de jardin ont poussé généreusement un peu partout. Si ces derniers permettent à leurs utilisateurs les plus téméraires de bondir jusqu’à trois mètres, on est bien loin des performances possibles sur un engin professionnel!

La taille du cadre est évidemment un facteur essentiel à la hauteur du saut, mais la dureté de la toile influe également énormément. Les toiles professionnelles, tressées en fils de nylon, sont bien plus dures que celles que l’on trouve sur les trampolines de jardin.

Des abdos en béton

Le matériel est certes important afin de permettre aux athlètes de s’élever haut dans les airs. Mais le facteur essentiel réside dans la musculature des trampolinistes. On peut s’imaginer a priori qu’il est suffisant d’avoir de bonnes cuisses, mais cela n’est de loin pas le cas! La ceinture abdominale est extrêmement sollicitée car les athlètes atteignent aisément neuf mètres...

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