Cinq jours après avoir bouclé sa deuxième Solitaire du Figaro, Nils Palmieri se remet tranquillement de ses émotions. «C’est une course qui est extrêmement usante, avoue le marin qui a grandi à La Tour-de-Peilz. Elle s’étale sur un mois avec quatre longues étapes. Et contrairement à une Transat, on se met bien dans le rouge… Tout est fait pour la performance.»
Si sa première expérience sur cette course renommée l’avait déjà bien chahuté, l’an dernier, Nils Palmieri n’a pas su dompter cette épreuve comme il le souhaitait cet été. «Je pensais que j’allais progresser sur le plan mental, la stratégie ou d’autres aspects mais, au final, j’en ai bavé et je suis assez déçu de ma prestation et de mes performances», lâche-t-il.
Pas aidé par le sort
Le navigateur de TeamWork n’a jamais trouvé la bonne carburation et n’a pas eu de coup de pouce du destin. «Je n’ai...