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Rugby: la Coupe du monde débute ce vendredi au Japon, qui pour détrôner les All Blacks?

Le monde de l'ovalie va s'arrêter de tourner dès vendredi et jusqu'au 2 novembre prochain. Le Coupe du monde de rugby se déroule cette année au Japon, pour la première fois de l'histoire. Les All Blacks néo-zélandais sont à nouveau les grands favoris de la compétition.

19 sept. 2019, 11:39
Les All Blacks et leur haka s'apprêtent une nouvelle fois à faire trembler la planète rugby.

Le monde de l'ovalie retient son souffle avant la Coupe du monde qui aura lieu pour la première fois de l'histoire au Japon. La Nouvelle-Zélande, titrée deux fois de suite en 2011 et 2015, vise le triplé, mais la concurrence s'est renforcée.

Les observateurs sont quasi unanimes à penser que la compétition sera féroce. A commencer par Jonny Wilkinson, l'homme qui avait donné la victoire aux Anglais sur un drop inoubliable en 2003. "Ce tournoi sera le plus ouvert qu'on ait jamais vu. La Nouvelle-Zélande reste favorite, mais il y a des équipes européennes qui sont vraiment puissantes. L'Irlande, le Pays de Galles, l'Angleterre ont enchaîné des victoires", a notamment dit l'ancien ouvreur du XV de la rose.

 

 

"Six ou sept équipes sont capables de gagner la Coupe du monde", estime quant à lui Warren Gatland, le sélectionneur du Pays de Galles. Le Néo-Zélandais met sans doute dans le panier des candidats l'Australie, vice-championne du monde en titre, voire l'Argentine ou la France. Ces deux pays sont cependant, sur le papier, un cran au-dessous des Gallois et des Irlandais, et probablement deux des All Blacks, Anglais et Sud-Africains.

Premier choc

Le premier choc du Mondial, samedi entre les tenants du titre et l'Afrique du Sud, constituera un bon indicateur. Même s'il faut rester prudent, le tournoi étant très long. Les prétendants ne doivent pas arriver au top de leur forme au début du tour préliminaire, mais plutôt monter en puissance au fil des matches.

 

 

Même si les Blacks ont perdu leur place au sommet de la hiérarchie mondiale, au détriment de l'Irlande, ils demeurent sans doute l'équipe à battre. Certes, ils ont concédé deux défaites en moins d'un an (Irlande en novembre, Australie en août), plus un nul à domicile (Afrique du Sud en juillet), et ont perdu depuis leur sacre de 2015 plusieurs de leurs cadres (McCaw, Carter, Nonu, Conrad Smith).

Mais leur force de frappe collective et individuelle reste colossale (B. Barrett, R. Ioane derrière, Read et Retallick devant), et leur large victoire face aux Wallabies le 17 août (36-0), pour remettre les pendules à l'heure une semaine après leur défaite à Perth (47-26), est venue rappeler qu'ils sont inarrêtables lorsque la machine tourne à plein régime.

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