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Un Commugnan à la barre de la «F1 des mers»

Avec sa flotte de F50, le Sail GP, qui va voir sa première saison se conclure ce week-end à Marseille, aspire à devenir la Formule 1 de la voile. A la tête de sa partie opérationnelle: Julien di Biase, qui a vécu toute sa jeunesse à Commugny.

17 sept. 2019, 16:00
Qui remportera dimanche le million de dollars promis au vainqueur de cette première édition? Avant cette ultime manche, l'Australie mène la danse devant le Japon et les Etats-Unis.

Le week-end prochain, le Sail GP vivra, à Marseille, la 5e et dernière étape de sa première saison. Lancée au mois de février, cette nouvelle compétition, qui associe technologie de pointe, vitesse et grand spectacle, a pour ambition de devenir la Formule 1 de la voile. En alignant des F50 – catamarans équipés d’une aile rigide de 24 mètres et de foils leur permettant d’atteindre des vitesses de 50 nœuds (plus de 90 km/h) – sur des lieux de compétitions prestigieux tels que Sydney, New York ou encore San Francisco, avec une visibilité optimisée grâce à des contenus produits par leurs soins, les organisateurs ont mis toutes les chances de leur côté pour atteindre cet objectif.

«Nous sommes vraiment dans cette notion de sport spectacle dans l’idée de populariser la voile. C’est un circuit pour ceux qui aiment la vitesse et la proximité, les courses se disputant très près des...

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