Début mars, le coronavirus a déferlé sur la Suisse et le petit monde du basket helvétique a été un des tout premiers sports à ranger les ballons au placard, pour de très longs mois. «Au début, c’était assez bizarre, on ne savait pas si on pourrait reprendre et ce qu’il se passait avec le coronavirus… Mais quand Swiss Basketball a dit que c’était réellement fini, ça a été une grande tristesse», souffle Shannon Coffee.
Pour l’Américaine de 23 ans, le branle-bas de combat ne faisait que commencer. «Ça a été un peu la course pour retourner chez moi. Heureusement, j’ai trouvé un avion qui partait quelques jours plus tard, glisse celle qui vient de Dayton, dans l’Ohio. On a encore pu manger ensemble une fois avec toute l’équipe, c’était sympa de pouvoir au moins se dire au revoir.»
«J’adore cette ville»
Mais cet au revoir n’était pas définitif. Car à...