«Les consignes avant la partie étaient de mettre du rythme contre une équipe qui sortait de dix jours de quarantaine. Mais même avec ça, dès le début du match, on n’a pas réussi à arrêter les contre-attaques d’Hélios.» Fran Leon Sedano avait beau s’égosiller sur le bord du terrain, la même scène se répétait inlassablement samedi soir au Rocher: Hélios, plus vif et tranchant, sanctionnait la moindre erreur nyonnaise par un contre inarrêtable.
Dès les premières secondes, les Valaisannes ont pris le large (2-8 à la 3e, 7-21 à la 7e). «On ne les a pas assez arrêtées en contre-attaque. Elles sont très rapides et on n’a pas su faire les fautes au bon moment», analysait Pauline Bonacorsi. Et son coach de compléter: «Hélios est l’équipe la plus physique du championnat et on leur laisse marquer 18 points en contre-attaque. Dans ces conditions, c’est impossible de gagner…»
Come-back avorté
Bien...