Le samedi, jour de match, il arrive parfois à la bourre. La "faute" aux études. Echauffement raccourci, le Nyonnais assure ensuite une partie de la mène. Depuis le début de la saison, Guillaume Chappuis, alias "Guigui", doit gérer les deux tableaux. Il lui restait encore à passer l'examen du "Money Time". Chose faite!
Guillaume Chappuis, pourquoi les joueurs ne réagissent-ils que lorsque le coach hurle?
C’est là qu’on remarque qu’on ne fait pas ce que le public ou le coach attend. C’est bien de se réveiller. Ça permet surtout d’avoir une prise de conscience.
Chantes-tu sous la douche?
(Sourire) Non, du tout! Je ne suis pas un grand chanteur. Par contre, Raphaël (Wilson) est très branché zouc. Avec Gino (Lanisse), je ne les ai jamais entendus, mais j’imagine que cela doit bien être leur truc.
Si tu étais un Schtroumpf?
(Soupire) Je ne sais même pas lesquels il y a... Je crois qu’il y a Grincheux, non?... (Il réfléchit, puis se marre) Je n’en sais vraiment rien!
Ton vice caché?
Oh là.... (Il soupire à nouveau, et marque un temps de réflexion)... Mon péché mignon? La gourmandise, peut-être.
Peux-tu expliquer cette histoire de «cobra» qui circule au Rocher?
(Il rigole) Je la voyais venir. C’est un délire avec des potes, hors basket. Au début de saison, en camp d’entraînement à Lyon, j’ai gentiment introduit le concept (dans l’équipe). Mais ce serait un peu long à expliquer et mieux vaut que cela reste au sein du vestiaire.