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Les camps sportifs font contre mauvaise fortune bon cœur

Pour coller aux normes sanitaires, les stages sportifs ont souvent dû se résoudre à revoir leur effectif à la baisse. Mais la plupart ont tout de même décidé de maintenir leurs activités et bien leur en ont pris, puisque la demande est là.

10 août 2020, 19:00
David Ashtamkar, patron de la société Star Sports, basée à Cossonay, organise des camps de foot depuis vingt ans.

«Honnêtement, il y a eu très peu de parents qui se sont montrés soucieux de lâcher leurs enfants. Je pense même que certains avaient plus le souci de pouvoir les placer dans des camps pendant cette période de vacances.» Killko Caballero, patron de Totem Escalade, peut avoir le sourire. Ces nombreuses activités d’été attirent autant de monde que l’an passé, voire un peu plus, malgré la situation sanitaire compliquée.

«On a fait beaucoup de publicité et on profite aussi du fait que d’autres ont dû annuler», analyse le gérant de l’entreprise spécialisée dans le bloc. Durant l’été, dans chacune de ses quatre salles (Gland, Versoix, Ecublens et Vevey), Totem organise des stages de cinq jours – vingt-neuf au total – auxquels s’ajoutent les cinq semaines outdoor, pour découvrir la grimpe en falaise et la vie en pleine nature.

Heureusement qu’on a cette diversification de revenus. Ça nous permet de passer...
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