Samedi, les Reds Devils recevaient les Grasshoppers de Zurich à Beausobre avec une idée claire en tête: démontrer que la claque reçue lors du premier match de la saison (98-66) est bel et bien derrière eux. «On avait envie de poursuivre sur notre lancée, de continuer à gravir les échelons», clame Michel Perrin, coach des «rouge et blanc».
Mais même si cette équipe morgienne va mieux depuis quelques rencontres – quatre succès sur les cinq dernières sorties –, elle reste encore par moments fébrile et dépendante des exploits de Dallis Johnson à l’intérieur. Alors forcément, quand le pivot américain ne rentre pas dans son match (1/7 aux tirs après un quart), c’est tous les Red Devils qui tirent la langue.
Incapables de conclure leurs nombreuses occasions, ils n’ont pas été largués pour autant. Mais il y avait samedi dans le jeu morgien trop d’imprécisions pour pouvoir espérer quelque chose. «On...