Cette saison, Loan Morand se retrouve orphelin de son numéro fétiche. Contraint de porter le 9 au lieu de "son" 13, le meneur du BBC Nyon ne désespère pas de retrouver son chiffre préféré. Car le jeune Nyonnais tient à ses petites habitudes.
Loan Morand, les chaussures «flashy», un concours entre vous?
Le basketteur et les chaussures, c’est une histoire d’amour. Entre les «flashs», les plus jolies, originales, ou «collector». Il faut en avoir des belles (rires).
Un basketteur tombe-t-il souvent dans le panneau?
(Il se marre) Je dirais non, mais moi je me suis bien fait avoir le week-end passé. Je suis tombé à grosses briques dans le panneau, comme un débutant. On m’a organisé une fête surprise pour mes 20 ans et je n’ai rien vu venir.
Le plus chambreur de l’équipe?
Raphaël (Wilson)! Dès que tu fais un airball, une brique, louper un lay-up, c’est toujours le premier à venir à te dire que tu as fait un truc ignoble. Il se souvient de tout, c’est horrible. Et il scrute chaque vidéo de match pour te les ressortir.
Si tu étais le héros d’un film?
Will Smith dans «Sept vies», mon film préféré.
Es-tu superstitieux?
Beaucoup me le disent car mon numéro est le 13. J’ai mes rituels avant le match et mon 13 me manque, donc je pense qu’il y a une part de ça quand même.
Si tu pouvais choisir tes coéquipiers pour former ta «Dream Team»?
Pour choisir, il faut connaître les joueurs. Je prendrais des gars de l’équipe: Valentin (Zaninetti), Raphaël, Loris (Vallotton) et William (Van Rooij).