Après une mi-temps jouée sur un rythme effréné, les Red Devils, qui ne rejoignaient les vestiaires qu’avec trois points de retard, pouvaient encore espérer s’imposer une nouvelle fois, chez eux, face à Winterthur, formation contre laquelle ils restaient sur deux défaites à l’extérieur.
«C’était sur ce rythme qu’on devait jouer pour gagner et fatiguer, grâce à nos rotations, leurs deux meilleurs joueurs (ndlr: Rogelja et Robinson). Malheureusement, on n’a pas réussi à imposer notre rythme. C’était un mauvais match, avec des circonstances atténuantes», évalue le coach du Cherrat, Michel Perrin. Car, sans Atcho et avec des leaders blessés ou en manque cruel d’entraînement, les Saint-Preyards n’ont pas su mettre le rythme nécessaire dans la suite de la rencontre.
«Retrouver l’agressivité»
Au retour des vestiaires, ils prenaient même une leçon, pour accuser rapidement un retard de 20 unités (39-59 à la 28e). Sans mordant, les hôtes ne parvenaient plus à troubler...