L’année passée, après avoir remporté le premier match de la finale face à Villars, les Nyonnais avaient perdu l’acte II à la maison. Mieux que personne, ils savaient l’importance de cette rencontre. «La défaite de l’an dernier pouvait jouer un rôle, donc il fallait absolument chasser ces vieux démons de nos têtes», relevait le coach Alain Attallah.
Au Rocher, les Nyonnais avaient donc à cœur de gagner pour pouvoir se déplacer plus sereinement, samedi, en terres genevoises. Mercredi soir, sans être écrasants, ils ont réussi à faire totalement déjouer Meyrin en première mi-temps, verrouillant la raquette autour d’un William Van Rooij en véritable guerrier.
Plus les minutes filaient, plus le BBC Nyon semblait tranquillement faire son trou. Mais c’était...