William Van Rooij est un sacré numéro. Cette saison, le jeune Nyonnais a "forcé" Srdjan Zivkovic à changer de maillot. C'est peut être un détail pour "Zivko", mais pour lui ça veut dire beaucoup.
William Van Rooij, pourquoi avoir pris le n°11 à Srdjan Zivkovic?
C’est une tradition dans la famille. Depuis dix ans, on a tous le 11. Mon frère le portait au volley et au basket, ma sœur au volley et moi au basket aussi. J’ai voulu continuer cela cette année. J’ai donc pris le 11 à Srdjan sans lui demander, lors du premier match. Il m’en a beaucoup voulu, mais ce n’est pas grave (rires).
Dans l’équipe, qui est le plus bosseur?
Srdjan. Il ne s’arrête et ne souffle jamais. Il va toujours plus loin, il travaille, il travaille. C’est une brute, une machine.
Qui a les plus belles tablettes de chocolat?
(Sourire, il hésite) Alors ça... Pourquoi est-ce à moi qu’on pose cette question? Je pense que c’est Loris (ndlr: Vallotton).
Si tu étais un animal?
Un rapace (il se marre). Parce que tu vois tout d’en haut, c’est la classe.
Quand on est basketteur, sait-on rebondir?
Ben, c’est mieux. Donc oui!
Quel super-pouvoir aimerais-tu avoir?
Voler, sans aucune autre possibilité. Juste voler.