Privé des frères Jemmely et de Selimi, trois pièces importantes de l’édifice, Genolier-Begnins a frappé un grand coup, samedi, en s’imposant sur la pelouse champêtre du FC Ticino (2-3). Pourtant, la partie n’avait pas démarré de la meilleure des manières. Gêné par l’exiguïté et la médiocre qualité de la pelouse locloise, les «canari» peinaient à prendre leur envol. Tout le contraire des Neuchâtelois, eux aussi néo-promus, qui ouvraient le score à la demi-heure. Dépassés, trop passifs, les Vaudois concédaient même un second but, peu avant le repos. Mis devant leurs responsabilités par leur coach, durant la pause, les protégés de Marc Studer ne laissaient, hélas, apparaître aucune réelle amélioration en seconde mi-temps. Ce sont, au contraire, les hôtes qui étaient proches d’inscrire deux buts supplémentaires. Dans un grand jour, le portier Bally opposait son veto et maintenait son équipe en vie.
En fin de rencontre, Genolier-Begnins modifiait ses batteries et...